(M) dick, dicks, dickens. (RESERVE)

Il paraît que l'amour est le remède à tout. Il paraît qu'il suffit d'aimer de nouveau pour renaître comme par magie. Mais ce n'est le cas enfin je ne crois pas. Je crois que ce type est pour moi bien plus qu'un ami, mais je ne pense pas que se soit une bonne idée pour moi de me laisser aller avec lui. Je ne dois pas m'attacher à lui, alors je le repousse depuis maintenant deux semaines. « Olive ça te dis qu'on aille manger un bout tout à l'heure ? » Je trouvais toujours une excuse, parce que même si on a manger ensemble plus d'une fois, depuis quelques jours je sentais qu'il attendais bien plus qu'un déjeuné en tête à tête. « Non je suis désolé, je peux pas ce midi j'ai déjà un truc de prévu. » Il y a quelque temps je commença à être à cours d'excuse et il commençait à se dire qu'il y avait u truc qui n'allait pas bien. Un soir alors que j'étais seule chez moi, on sonna à la porte. J'ouvris sans penser une seconde que c'était lui. « Salut, on a du mal à se voir plus de 5 minutes en ce moment alors je me suis dis que je devais peu être venir te voir à l'improviste comme ça j'aurais peu être une chance de passer du temps avec toi. » Je ne savais pas quoi dire. Je voulais passer du temps avec lui bien sûr mais lui et moi seul dans mon appartement non, ce n'étais pas une bonne idée. « Écoute, Dickens... » « Ok j'ai compris, enfin non j'ai pas compris pourquoi depuis au moins deux semaines tu ne semble plus vouloir passer du temps avec moi, pourtant on s'entend bine non on se connait depuis longtemps maintenant alors dis moi où est le problème ? Tu supporte pas ma nouvelle coiffure ? » Je souris malgré moi, même si c'était plus un sourire nerveux qu'autre chose. Je voulais pas le vexer surtout pas je tenais à son amitié. « Non c'est rien j'avais juste envie d'être seule ces derniers temps, mais vas y entre. Et puis c'est vrai que ta coiffure elle est pas top. » Il entra, et me regarda dans les yeux. « Ah ma coiffure tu l'aime pas ? Et tu crois que moi j'aime ta blondeur ? En faite oui j'aime ta blondeur je dirais même que je l'adore mais ça c'est une autre histoire. » Je ris. « Tu veux boire un truc ? » « Non pas vraiment que tu me laisse enfin t'approcher c'est bien suffisant mais si tu insiste je prendrais bien ne bière enfin si tu en as dans ton frigo. » [burlywood]« Oui j'en ai Dick. »[/color] Je sortis deux bière du frigo, j'étais vraiment nerveuse, je n'avais pas de quoi je savais me contrôler quand même. Oui je suis amoureuse de Dickens mais on est déjà trop proche je veux dire je l'ai trop laisser entrer dans ma vie, il est devenu déjà bien trop important pour moi. Je sais que c'est dangereux. Nous nous installons sur le canapé. Le silence s'est installé entre nous deux Dick me regarde la moue rieuse. « Quoi t'as perdue ta langue t'as rien à me raconté sur ces filles qui se battent pour un bout de tissus ? » Il faisait allusion au faite que j'avais trouvé un emploie de vendeuse dans un boutique de fringue de luxe et que souvent j'avais une anecdote bien croustillante à lui raconter. « Non là pour une fois y a rien eu d'hilarant. » « Toi non plus t'es pas hilarante Olive, qu'est ce qui se passe ? Tu m'as dis que tu voulais rester seul ces derniers temps pourquoi ? » Il avait des soupçons. « Non non tout va bien Dick. » « Arrêtes de me mentir je te sens mal à l'aise depuis que... oui depuis qu'on est devenue plus proche depuis qu'on passe de plus en plus de temps ensemble depuis que le matin en me réveillant je pense à toi... » « Dick qu'est ce que tu fais là ? » « Ce que je fais c'est te dire ce que je ressens Olive, même si je suis certain que t'es au courant sinon tu ne me repousserais pas depuis deux semaines à chaque fois que je te propose de faire un truc ensemble. Olive tu sais très bien qu'on est plus que des amis. » Oula ça commençait à se gâter. « Non Dick on est que des amis et si ça te suffis plus faudrait peu être qu'on songe à ne plus se fréquenter. » « C'est vraiment ce que tu veux Olive ? » Il ne me laissa pas le temps de répondre il déposa un baiser sur mes lèvre, un baiser passionné que je ne pu repousser et que je ne pu m'empêcher de lui rendre. « Tu vois, tu veux la même chose que moi. » Non il ne fallait pas. Je ne devais pas faire ça. Parce que si je le perdais un jours je ne le supporterais pas il fallait que je me détache de lui et que je l'oublie une bonne fois pour toute. « Non Dickens c'est pas ce que je veux. Vas-t-en et je veux plus te revoir. » Je n'osais même plus le regarder dans les yeux. « Ok » Il partit en colère je le sentais dans sa voix. Ceci, se passa il y a maintenant 3 semaines, et ça fait trois semaines qu'on ne s'est pas vu qu'on ne s'est pas appelé et pourtant je n'ai jamais autant pensé à lui.