Starsky-Perth Novack
Messages : 14 Date d'inscription : 12/09/2010 Crédits : lonely angel
♣ ON THE ROAD ! ♠ Emploi: vendeur dans un magasin vestimentaire, études linguistiques. ♠ Adresse: en cours. ♠ Relations:
| Sujet: (F) Je vais bien, ne t'en fais pas. STRACKE, AU CHOIX. Lun 13 Sep - 20:41 | |
| (LIBRE) NOM : Au choix, mais à consonance américaine du moins anglophone. PRÉNOM(S) : Au choix, mais faite dans l'originalité. ÂGE : La vingtaine, pas moins. DESCRIPTION DE LA RELATION :
- Spoiler:
Elle reposait sur son torse et sentait la chaleur de son corps s'encrer dans le sien. Elle arborait ce sourire béat qu'elle ne quittait presque jamais, puisqu'elle était heureuse. Dans ses bras, elle ne craignait pas le monde. Elle leva les yeux vers lui et songea à la chance qu'elle avait de se trouver à ses côtés. Dans un murmure, quelques mots s'échappèrent de sa bouche, écartant tendrement ses douces lèvres. « Je t'aime. » Il ne bougea pas d'un cil, mais son cœur s'était emballé. Les yeux rivés vers le plafond, il n'avait émit aucun mouvement depuis quelques minutes, hormis le va et vient de son ventre causé par sa respiration. Elle comptait énormément à son cœur, mais il n'avait jamais réussit à répondre à ses déclarations. Il l'aimait, ça il en était plus que certain. Pourtant rien n'était jamais sortie de sa bouche, ni même de ses doigts. La relation qu'entretenaient ses parents est pour beaucoup dans l'histoire : une peur bleue de l'engagement est né en lui et ce depuis son plus jeune âge. Puis il déposa un baiser sur son front, se décala afin de se retrouver face à elle et la fixa dans les yeux d'un regard amoureux. Elle lui sourit de plus belle et il le lui rendit. Ils ne parlaient que très peu dans ces moments d'intimité mais seuls ces regards et ces sourires suffisaient à transmettre à l'autre tout l'amour qu'il ressentait envers lui. Il l'embrassa. Le contact de ses lèvres lui fit le plus grand bien. Ce fut comme s'il ne l'avait pas serrer contre lui depuis des jours entiers. Il eut ainsi du mal à la relâcher lorsqu'elle voulut lui avouer quelque chose. « Mon amour, tient toi bien puisque je dois te dire quelque chose qui, je crois, va changer pas mal de chose. » « A vrai dire, j'ai moi aussi un aveux à te faire ... Mais vas-y, commence ! » Comme si elle avait alors un sixième sens, elle pressentit quelque chose de mauvais dans les paroles qui allaient suivre. Mais le sourire de Starsky la rassura, pour peu de temps. « Non, je suis curieuse. Dis-moi tout. » Un instant, il réfléchit à la façon dont il pourrait aborder le sujet, sachant pertinemment qu'elle ne pouvait que le prendre mal. C'était une personne adorable, mais malheureusement trop impulsive. Il voulut se ravisé, tente le "ce n'est pas important, dis moi toi" pour qu'elle lui dise de commencer et que ce petit jeu dure une éternité. Mais puisqu'il s'était lancé, il était désormais au pied du mur. « Si tu insistes ... Je pars en Asie pour ce programme humanitaire dont je t'ai parlé l'autre fois. Le problème c'est que je serais sûrement bloqué là bas pendant un an ou deux. Mais j'aurais des semaines de libres où je pourrais revenir à New York et. » Le sourire de sa belle s'était effacé laissant place à de petites perles coulant le long de ses joues. Elle ne disait pas un mot, de toute façon elle en était incapable. Ses lèvres s'étaient mise à tremblées, puis son corps tout entier. La boule à la gorge il ne s'était pas douté une seconde qu'elle aurait pleuré. Il avait imaginé une crise, des cris et sa fureur dans toutes la chambre. A vrai dire tout, sauf ça. La voir dans un tel état le remua le ventre. Il sentait que ses yeux se remplissaient peu à peu et que sa gorge se nouait de plus en plus. Perth l'entoura de ses bras, dégustant ces derniers instants en sa compagnie. Mais ce n'était pas comme il l'aurait espéré : elle n'avait pas même sourcillé lorsqu'il s'était approcher d'elle. « Ce n'est pas pour te laisser un bon souvenir de moi, mais parce que jusqu'aujourd'hui je n'ai pas réussis à comprendre ce qui se passait vraiment en moi lorsque je me trouve avec toi. Tu attends sûrement de moi que je te dise ces petits mots qui ont toujours fait si plaisir aux filles, mais je ne peux pas. Tout ce que je sais à l'heure d'aujourd'hui c'est que jamais je n'aurais voulus te laisser partir, que chaque moment passé en ta compagnie me font le plus grand bien, le jour où on s'est embrassé pour la première fois fut comme une renaissance et que même si ma raison me l'avait interdit je me suis vraiment attaché à toi. Comprends-moi ... » Ses larmes avaient cessé de couler mais ces paroles les firent revenir de plus belle. Elle retenait un sourire de bonheur face aux sentiments de Perth mais ne pus s'empêcher de se jeter dans ses bras. « C'est ton rêve, ta vocation, ton oxygène ... je comprends. » « Non. Mon oxygène, c'est toi. » Perth lui même se surprit de lui avoir déclarer autant de chose. Mais il n'avait en aucun cas envie de la perdre. Seulement pour son bonheur il aurait préféré qu'elle trouve quelqu'un d'autre et qu'elle ne l'attende pas aussi longtemps. C'était dur, pour l'un comme pour l'autre. Mais il avait crus qu'ils pourraient surpasser ça bien trop facilement. Elle en avait presque oublié ce qu'elle avait eu envie de lui dire quelques minutes plus tôt. « Et toi, qu'est-ce que tu avais à me dire ? » Elle s'efforça de répondre à son sourire mais sa respiration s'était saccadé. Elle ne pouvait plus lui dire, c'était trop tard. Il partirait dans quelques temps et pour un temps indéterminé et quitterait peut être même sa vie à jamais. Elle se résolut à un : « Non ce n'était vraiment pas important. » et l'embrassa tendrement pour passer à autre chose. Il partagèrent une dernière fois de la passion de leur relation et mêlèrent leur corps avec amour.
Les dernières embrassades furent les plus dures. Pressé par le taxis qui l'attendait en bas de sa douce, il ne pouvait se détacher d'elle. A son grand étonnement ce ne fut pas comme le jour de la révélation. Perth était dérouté de devoir la laisser sur la pas de sa porte, alors qu'elle était sereine. Ce fut même elle qui mit fin à leurs émois et qui se sépara la première de lui. « Prends soin de toi. » Un sourire, il l'embrasse une dernière fois et fila dans le taxis qui grognait d'impatience.Le départ était pour bientôt, mais il se devait avant de passer prendre quelques papiers sur la place du Wall Trade Center. Elle mourut longtemps d'envie de le rejoindre et le supplier de l'emmener avec lui, mais c'était trop tard. Nous étions le onze septembre de l'année deux milles un, le jour le plus désastreux de la vie de beaucoup d'américains. Elle était devant sa télé lorsqu'elle apprit l'attentat, elle jeta sur son portable pour le joindre mais la ligne sonnait occupée. Elle pleura la mort de son bien aimé. Perth était dans le taxis en direction de l'aéroport. Il était tombé sur le répondeur et ne lui laissa que ces trois mots en guise d'au revoir : I LOVE YOU. Puis alors qu'il allait monter dans l'avion il apprit ce qui s'était passé plus tôt. Alors qu'il venait à peine de quitter les environs, les tours s'étaient écroulées. Il aurait put se retrouver dans des embouteillages ou devoir patienter plus longtemps pour ses papiers, mais non. Il était bien là, sein et sauf. La première personne qu'il voulut entendre ne fut pas sa mère, ni son frère ou son meilleur pote. Non. Il avait besoin d'elle. Pourtant rien n'y faisait, elle ne décrochait pas. « Merde, merde, merde ! Réponds. » L'idée qu'elle avait voulut le retrouver encore une fois avant qu'il s'envole pour une autre cantinant lui arracha le cœur. Mais il ne le saura jamais : embarcation commençait. Deux ans il vécut dans la peur qu'à son retour elle ne serait plus là. Mais elle n'avait juste pas garder son portable avec elle, la tristesse l'ayant envahie. Lorsqu'elle se rendit compte que son grand amour n'était pas partie en fumée avec toutes ces malheureuses personnes, elle bénit Dieu de l'avoir laissé en vie. Elle caressa le bas de son ventre. Si elle le lui aurait dit, serait-il resté ? Dans tous les cas, elle portait le fruit de leur tendresse en elle. C'était le plus beau cadeau d'adieu qu'il avait put lui faire.
En résumé. Tout deux ont vécus une grande histoire, bien qu'assez courte puisqu'elle n'a pas même durée un an. Puis Perth a du partir pour un programme humanitaire laissant sa tendre seule à New York, alors qu'elle attendait un enfant. Elle aurait voulus lui dire mais ce serait comme le forcer à rester auprès d'elle et ainsi ne pas pouvoir exaucé ce rêve de gamin. Le jour de son départ fut le onze septembre, quelques minutes avant le crash il se trouvait au sain d'une des tours jumelles. Elle crut à sa mort mais fut rassuré par de multiples appel et un message sur son répondeur où il lui avait enfin prononcé ces trois mots magiques qu'il n'avait jamais pus dire. Seulement lui n'a eut aucune nouvelles d'elle avant que son avion ne s'envole. S'étant imaginé divers scénarios, les repoussant tous un par un, il espère qu'elle ne soit pas allé la rejoindre pour lui dire une énième fois au revoir. Deux ans d'absence, deux ans loin de l'autre mais voilà quelques mois qu'il est de retour. Il cherche à tout pris à la retrouver mais personne ne semble avoir eu de nouvelles d'elle. Sa plus grande peur fait surface alors qu'elle a juste décidé de couper les ponts avant grand nombre de ses connaissances de l'époque avant de mener à bien sa grossesse et devenir une mère exemplaire. Le petit fêtera bientôt ses deux ans et a une image épique de son père, bien qu'elle lui ait dit qu'il n'y aurait sûrement aucune chance qu'ils se voient un jour non pas parce qu'il ne l'aime pas, mais parce qu'il ne savait pas. Malgré ces deux ans de séparation, l'un comme l'autre n'a pas oublié cet amour fusionnel qui régnait entre eux. PRÉCISIONS : Malgré son physique de fêtarde, c'est une jeune femme adorable et pleine de générosité. Elle n'a jamais enchainé les relations d'un soir et croit au grand amour qu'elle voit en la personne de Perth. Elle est enjouée et depuis la naissance de l'enfant ( à voir si c'est une fille ou un garçon ) elle a trouvé un sens à sa vie. Un but. Pleine de rêves elle garde tout de mes les pieds sur terre. Elle boit que très rarement et la présence de sa progéniture ne l'empêche pas de sortir de temps en temps. Elle veut profiter de sa jeunesse, même modérément. Sa meilleure amie étant la marraine du petit ( scénario à faire, si vous voulez ), elle a du temps pour elle et est une maman épanouie. AVATAR(S) SOUHAITÉ(S) : Je verrais bien la jolie Sky Stracke ou encore Taylor Warren, mais l'avatar est totalement négociable, je ne suis pas difficile. Je me garde tout de même le droit de refuser si la célébrité ne me conviens pas.
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Starsky-Perth Novack
Messages : 14 Date d'inscription : 12/09/2010 Crédits : lonely angel
♣ ON THE ROAD ! ♠ Emploi: vendeur dans un magasin vestimentaire, études linguistiques. ♠ Adresse: en cours. ♠ Relations:
| Sujet: Re: (F) Je vais bien, ne t'en fais pas. STRACKE, AU CHOIX. Lun 13 Sep - 22:34 | |
| Le scénario est terminé et belle et bien libre. En ce qui concerne mes attentes pour la personne qui prendra mon scénario, je ne pense pas que ce soit demander la lune. Comme tout le monde, j'aimerais une personne présente qui ne me lâche pas après avoir terminé sa fiche, bien qu'on est tous une vie en dehors d'internet. Se connecter, c'est bien mais poster c'est mieux : le personnage étant très important pour le mien un ou deux postes par semaine minimum ne serait pas de refus pour pouvoir faire avancer l'histoire. Je préfère la qualité à la quantité, vingt belles lignes avec une orthographe correcte valent mieux que cinquante bourrées de fautes. Mais j'aimerais simplement que vous puissiez faire une trentaine de lignes haut la main, c'est en général la longueur de mes propres postes. Comme il est précisé le nom et le prénom sont au choix, mais un peu d'originalité ne serait pas non plus de refus. Mais n'abuser pas non plus, il ne faut pas que ça part dans le ridicule et l'illisible. L'avatar est quand à lui très négociable mais privilégiez Sky Stracke ou Taylor Warren. Je ne suis pas très difficile alors vous pouvez facilement proposer une célébrité que j'accepterais de bon cœur, mais je me garde tout de même un droit de véto. Dans tous les cas je bénirais la personne qui daignera prendre ce scénario, je construirais un temple à son effigie et la couvrirait de baisers.
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