OHD - Oh my Hot Darling ! 1000000% ENDED

NOM ET PRÉNOMS: Harper, ça c'est le nom de famille de mon père, vous devez tous connaitre Georges Harper, de HARPERCORP. Ben c'est mon paternel et c'est pas tout les jours facile, mais au moins je suis sûre d'avoir du caviar à table. Duck c'est le nom de famille stupide du deuxième mari de ma mère, elle a insisté pour que je le porte. A cause de ça mon surnom c'est Duck, pas de chance mais bon je fais avec. Mon prénom c'est Olive, oui Olive pas Olivia, Olive et j'aime ce prénom. On m'appelle souvent Olie quand c'est pas Duck.
ÂGE : 20 ans tout rond.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE (n'oubliez pas que nous sommes en 2003) : 4 septembre 1983. New York.
NATIONALITÉ : Américaine
OCCUPATION : étudiante en stylisme, et vendeuse chez barney's.
GROUPE : new yorkais.

♣ SOME QUESTIONS ABOUT YOU

DESCRIPTION PHYSIQUE : Je suis de grande taille, blonde aux yeux d'un bleu pure et déroutant. On m'a toujours dit que j'avais un corps fait pour le mannequinat. Je ne sais pas trop quoi en penser je suis bien dans ma peau je me pose pas de questions je mange comme quatre et je grossis pas. Bref à part ça je suis du genre à m'habiller chez des grands couturier j'ai la mode dans la sang c'est pour rien si je suis des cours intensif de stylisme depuis deux ans enfin j'ai beaucoup perdu de retard pendant am première année je suis entré dans une école de stylisme quelques temps après le 11 septembre et quand ma sœur se suicide j'ai totalement arrêter les cours pendant 6 mois au moins. Je suis une dingue des magasin je pourrais passer ma vie à faire les boutiques, c'est bien mieux que de passer sa vie en enfer.
VOTRE VISION SUR LE 11 SEPTEMBRE : Ce fut le pire jours de ma vie. Ce jours là j'ai perdu un père, un beau frère et une sœur. La société de mon père était implanté dans une des tours. Il est morts dans l'accident avec son vice président qui était mon beau frère, deux semaines plus tard ma grande sœur se suicide de chagrin. Et moi suite à ça j'ai fais une grosse dépression et je tente de me suicider quelques semaines après la mort de ma grande sœur. Alors ce jour là c'était pas vraiment la joie.

Le chaos, tout le monde panique sans vraiment comprendre ce qui se passe. On dit qu'un avion puis un deuxième s'est écrasé sur les deux tours jumelles. On dit qu'il y a de nombreux morts et des tonnes de blessé plus ou moins grave. On sait que c'est la folie dehors mais l'on entend plus que les pulsations de notre cœur qui remonte jusque dans nos oreilles, une mélodie qui nous glace la sang. On est terrifier et si ? Et si ? Et on allume la télé on met le son a fond en espérant entendre de bonne nouvelles. Wendy ma grande sœur me serrant la main aussi fort que possible, les larmes aux yeux, le regard vide. Une nouvelle arrive. « Nous venons d'apprendre avec certitude que le grand Georges Harper président de HARPERCORP et son vice président Grady Ainsworth n'ont pas survécu à la catastrophe. Toute nos condoléances à la famille Harper et Ainsworth, nous sommes dans un jour de deuil pour l'Amérique. » Un cri, une plainte, l'on à l'impression que le monde entier s'effondre autour de vous. Et moi silencieuse les larmes aux yeux je n'arrive pas à croire que mon père est mort, que mon beau frère est mort lui aussi je sens la chagrin de toute la terre envahir mon être. Ce jour de 11 septembre 2001 marqua le début de la fin.

L'on venait de me retrouver dans ma chambre inconsciente une boite de somnifère super puissant totalement vide sur le sol. Ma mère hurlait qu'on vienne l'aider, quelques minutes plu tard j'étais emmener par une ambulance en urgence. J'étais sortit d'affaire après un super lavage d'estomac. Mais ce qui venait d'être fait n'avait pas été sans conséquence j'avais tenté de ma suicider, prenant exemple sur ma grande sœur mais comme toujours elle m'a surpassé puisqu'elle n'a pas loupé son coup contrairement à moi. Je suis en ce moment interné dans un institut capable de m'aider selon les brochures alléchantes. « Olive allez vous enfin vous décider à parler ? Cela fait un mois que vous êtes avec nous et n'avez fait aucun progrès. Je sais très bien que vous ne voulez pas être là, alors vous devez peu être y mettre du votre. » Je me recroquevilla sur moi même tortillant mes cheveux. Je ne voulais pas parler de ce qui m'avait pousser à vouloir en finir je n'avais pas besoin tout le monde le savait ça avait fait la une des tabloïd à New York. « L'unique héritière de HARPERCORP à tenter de se suicider, quelques semaines après le suicide de sa sœur ainé, c'était au tour de la petite Harper. Par chance elle a été retrouvé à temps par sa mère et à pu être sauvé par les meilleurs médecins. » Je n'avais pas besoin de lui dire à cette sois disant psy. « Je n'ai rien à dire je crois que vous savez lire non ? Alors allez ouvrir un magasine de potin, vous trouverez toutes vos réponses. » La psychologue soupira, puis une sonnerie retentit comme quoi ma séance était terminé et qu'il était temps pour moi de retourner dans mes quartiers. Je me leva sans demander mon reste. « Attendez Olive, on se revoit demain et cette fois-ci j'espère que vous comprendrez qu'il est primordiale que vous me parlez de ce qui vous a pousser à tenter de vous tuer Olive ! Même si dans la presse tout le monde en a parler. A demain. » Je partis sans ajouter quoi que se soit à ce qu'elle venait de me dire, je savais pertinemment que je devais lui parler, qu'elle avait raison. Mais c'était bien trop dure je n'arrivais pas à parler de la mort de mon père et de celle de mon beau frère et encore moins de celle de ma grande sœur, j'étais si proche d'elle. J'avais le cœur en miette.

« Alors Olive dites moi comment allez vous aujourd'hui. » Cela faisait deux mois que j'étais dans ce centre, et je n'avais pas avancé. Pire encore je m'étais recroquevillé sur moi même je ne parlais plus à personne plus à aucun de mes amis et pourtant dieu sais que j'ai toujours eu besoin de parler à mes amis dans toute circonstance. Je m'étais fermer au monde entier je ne disais plus un mot rien. Je ne parlais plus depuis un mois. « Olive je sais que c'est dur pour vous, je sais que vous vous sentez seule, que votre sœur et votre père vous manque. Mais il est temps maintenant il est temps de retrouve une vie qui vaille la peine d'être vécu, vous êtes jeune vous n'avez que 19 ans vous avez toutes la vie devant vous, il faut aller de l'avant. » J'avais envie de lui dire que ma sœur aussi avait toute la vie devant sois. Et que c'est pas ça qui l'a empêcher de se suicider. Je ne voyais pas comment on pouvait avoir envie de vivre dans un monde où tant de haine existe. « Je sais que ce que je vous ai dis vous fait réfléchir, et si vous me disiez en un mot ce que cela provoque comme réaction chez vous un mot un seul. » Elle était vraiment coriace cette psy, elle essayait tout ce qu'elle pouvait pour me sauver de cette abîme qui commençait à prendre mon cœur. Je finis par dire un mot. « Conneries. » Elle gribouilla sur son calepin quelques mots, apparemment ce que je venais de dire avait fait avancé la séance c'est la première fois depuis un mois qu'elle avait quelque chose à dire sur la séance. « Alors vous n'êtes pas d'accords avec ce que je vous ai dit. Vous pensez que vous devez mourir, que vous n'avez pas la vie devant vous. Vous pensez peu être que vous ne méritez pas de vivre d'aller de l'avant ? Olive, ce qui est arrivé n'est pas votre faute, ce n'est pas votre faute si votre père est mort, si le mari de votre sœur n'a pas non plus survécu et si votre sœur s'est donné la mort. » Je fondis en larme, et entre deux sanglots je lui dis. « J'aurais du être là pour elle, je n'ai pas joué mon rôle de sœur, elle n'allait pas bien et moi je me disais que ça allait lui passer qu'il lui fallait juste du temps, je me suis pas douté deux seconde qu'elle voulait mourir. J'aurais du pouvoir empêcher ça ! » La psy émie un soupir de soulagement. « Olive, vous savez que ce n'est pas votre faute. Au fond de vous vous le savez, c'est votre sœur qui a décidé de mourir vous n'avez pas pris la décision pour elle, ce n'est pas vous qui l'avez tué ! C'est bien on avance. » J'essuyai mes larmes et je sentais que j'avais enfin besoin de parler de tout ça. « Je, je ne voulais pas vraiment mourir je crois que j'avais juste besoin d'aide mais je n'arrivais pas à le dire. Je n'arrivais plus à me dire qu'il fallait que je respire pour vivre alors qu'il y a eu tant de monde à mourir alors que mon père, mon beau frère, ma grande sœur n'était plus de se monde. Et quand je vois les autres recommencer à vivre comme si rien de tout ça n'avait été réel je me dis que ma place n'est pas ici, si moi j'arrive pas à recommencer à vivre c'est que je n'ai pas à être de ce monde. » Cette séance avec le psy signa ma sortit quelques semaines plu tard, je suis sortit de cet institut il y a maintenant un an je me suis remise mais je ne suis plus la même, je ne suis plus aussi enjoué. Je suis plus méfiante je ne m'attache pas trop au gens parce que je crois qu'il peuvent partir n'importe quand. Je ne suis plus la Olive impulsive drôle, et gentille. Je ne suis plus qu'une pâle copie de moi même, je porte ce masque suis dit que je suis toujours la même. Mais la nuit c'est encore des larmes qui coule sur mes joues.