Sujet: Pinny ♦ you have to understand that we all are useless! (ENDED) Lun 6 Sep - 19:19
TUMBLR.
♣ IDENTITY
NOM ET PRÉNOMS: Pineapple Krissy Scharw-Feaz ÂGE : 20 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE(n'oubliez pas que nous sommes en 2003) : New-York , 19 novembre 1983. NATIONALITÉ : Américaine. OCCUPATION : Etudiante à Columbia. GROUPE : New Yorkais
♣ SOME QUESTIONS ABOUT YOU
DESCRIPTION PHYSIQUE : La première chose que l'on constate en voyant Pineapple c'est certainement sa petite taille. Effectivement Pinny a toujours été plus ou moins affecter par sa taille plutôt en dessous de la moyenne. Au delà de ça c'est une petite brune qui a durant toute son adolescence fortement attirée l'attention. Après tout, des cheveux bruns/noirs légèrement bouclés, un visage d'ange et de grand yeux vert ça ne peut qu'attirer le regard ne pensez-vous pas? VOTRE VISION SUR LE 11 SEPTEMBRE :Le 11 septembre est une tragédie. Une des pires dont j'ai malheureusement été témoin. Vous savez exactement une semaine avant cet incident j'ai découvert que mon père avait un enfant illégitime. Enfant qu'il avait eut avec la meilleure amie de ma mère. Chaque mois monsieur envoyait de l'argent à sa maîtresse pour lui acheter son silence. Sauf que voilà j'ai malheureusement fait éclater au grand jour toute cette supercherie. Depuis ma mère est partie. Elle est partie sans un mot rien. Elle a fais ses valises, a pris sa voiture et s'en est aller comme si je n'avais aucune quelconque importance pour elle. Elle m'a laissée seule, m'a abandonner avec ce être qui était censée représenter une figure paternel mais qu'aujourd'hui j'ai tant de mal à estimer. Voyant son "secret" découvert et au lieu de chercher à arranger les choses mon père n'a rien trouver de mieux à faire que de contacter son autre fille. Mettant ainsi la zizanie dans sa vie, comme il l'avait précédemment fait pour la mienne. Le 11 septembre je fuyais. Je fuyais toute cette vie. J'errais dans New york en compagnie de mon petit chien. C'est alors que je l'ai vue Holly. La Holly qui était le fruit de tout mes problèmes. A cet instant je vis toute la scène. Des hurlements , des pleurs , c'était l'apocalypse. J'étais figée, je ne pouvais plus bougée. C'était comme si tout ceci me paraissait des plus irréels. Au fond dans cette histoire je n'aurais perdue que mon chien qui sentant le danger c'était échapper à toute vitesse. Ce n'est rien comparée aux nombreuses pertes humaines certes. Enfin tout ça pour dire que chez moi le onze septembre représente la fin. La fin de tout , la fin de mon bonheur surtout. Vous savez je vois cet attentat comme l'interprétation de mes sentiments présent. Je n'avais qu'une envie c'était de mourir, de partir loin, loin de tout et au final d'autres ont péris à ma place et c'est peut-être idiot de dire ça mais j'aurais certainement payer cher pour être à leurs places. Car au fond il vaux mieux mourir tragiquement que vivre dans la peine toute sa vie.
♣ TELL ME WHO YOU ARE
AVATAR : Lucy Kate Hale. PSEUDO/PRÉNOM : Foolish pleasure , foolishoo , foolish , le lion , little j. June , Junii , Juno.. ÂGE : seventeen OU AVEZ-VOUS TROUVÉ FEELING GOOD ? : Bazzart
Dernière édition par Pineapple K. Scharw-Feaz le Mar 7 Sep - 20:21, édité 9 fois
Pineapple K. Scharw-Feaz PINNY ★ This must be what going mad feels like.
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Sujet: Re: Pinny ♦ you have to understand that we all are useless! (ENDED) Lun 6 Sep - 19:19
Sometimes i felt like destroyin' something beautiful.
SEPTEMBER THE 4TH 2001 ★ On m'a toujours dis qu'on ne se rendait compte de ce qu'on avait qu'une fois cette chose perdue. Je n'avais jamais réellement compris cette phrase avant aujourd'hui. J'ai souvent été ce genre de fille stupide, égoïste et narcissique qui se plaint pour un oui, pour un non. J'ai vécue une enfance relativement heureuse. Mon père a toujours été un acharné de travail qui a tout fait pour que sa famille en l'occurrence ma mère et moi-même ne manquions de rien. Il n'était de ce fait pas des plus présent mais ma mère était là pour compenser un minimum. Disons que ma vie était autrefois parfaite. J'avais une famille plutôt harmonieuse dans l'ensemble. De l'argent à flot, des amies qui ne me voulaient que du bien au fond, et tout ce dont je pouvais rêver. Ce qu'il faut savoir c'est que toutes les bonnes choses ont une fin. Je n'aurais jamais penser que la fin de mon bonheur allait se faire si vite. Je n'oublierais jamais l'expression qui s'était soudainement dessinée sur son visage lorsqu'il m'avait vue en possession de ce paquet. Ni même le ton sur lequel il m'avait déclaré « Pinny bon sang qu'est-ce que tu es entrain de faire? ». Vous ne comprenez certainement pas de quoi il s'agit réellement alors je vais être dans le devoir de tout vous expliquer depuis le début. Mes parents ce sont rencontrés lorsqu'ils étaient au lycée. Le coup de foudre vous savez celui qu'on ne vois que dans des films bidons à l'eau de rose ou bien dans des livres qui relatent soit disant les plus belles histoires d'amour qu'ils puissent exister. Le véritable amour c'était ce qu'ils étaient censées tout deux vivre seulement voilà tout n'était pas si rose et si beau. Ce que ma mère ignorait jusqu'à ce jour, était que mon père avait un enfant illégitime. Enfant illégitime qu'il avait conçu alors que je n'étais âgée que de deux ans, avec la meilleure amie de ma mère en plus de cela. Comme si l'adultère n'était pas une chose assez ignoble non il fallait qu'il cherche à lui faire mal encore plus mal. Après tout faire un enfant à une autre il ne devait estimer cela que trop peu comme punition de lui avoir été fidèle et dévouée pendant des années durant. Ecoeurant n'est-ce pas? Tenez-vous bien car le pire est à venir. En plus d'avoir mis en cloque la soit disant meilleure amie de ma mère, il a acheter son silence. Comment? En promettant de donner assez d'argent nécessaire à la jeune femme pour qu'elle puisse élever son enfant convenablement. Pathétique. Avant j'aurais plutôt écrit "mon père ce héros". Aujourd'hui je préfèrerais écrire "mon père ce conard". Quand je pense que cette situation aurait très bien pu perdurer pendant encore bien des années cela me révolte et dégoute à la fois. Comment ai-je fais éclater la vérité au grand jour? D'une manière plutôt simple. Vous avez bien une pièce chez vous dans laquelle il est formellement interdit de trop se rendre. Ne vous-êtes vous jamais demander pourquoi? Et bien je vais vous répondre à cause de secret de famille. Toutes familles a ses problèmes et ses secrets. Le mien se trouvait dans le bureau de mon père. Depuis que je suis en âge de comprendre certaines choses de la vie mon père m'a toujours présenter son bureau comme était une pièce plus ou moins privée dans laquelle je n'avais pas réellement le droit d'entrée. Au fond c'est une chose que je pouvais totalement comprendre, son bureau c'était un peu comme ma chambre un espace privée dans une si grande maison. Mais voilà un jour alors que j'avais lourdement besoin d'un papier pour mon inscription à Columbia que seul mon père avait je me rendis dans son bureau comme me le conseilla ma mère. Je n'ai jamais réellement aimer trop fouiller dans ses affaires. Vous savez mon père est une personne très maniaque et mon passage ne passerais certainement pas inaperçue. C'était un besoin des plus urgents et au fond je n'avais pas d'autres choix. J'entrais donc dans cette pièce qui me semblait des plus glaciale. Je commençais à fouiller à la recherche de ce fichue papier dont je ne saurais vous dire exactement aujourd'hui ce qu'il en était. Tout ce que je sais c'est que sans lui ma vie aurait continuer d'être la succession d'un mensonge. D'un horrible mensonge. Alors que j'ouvrais un tiroir je fis tomber une boîte. Boîte qui au sol s'ouvrit et fis s'effondrer une montagne de lettres toutes adresser à la même personne. Je reconnus l'écriture brouillonne de mon très cher père et comme toute personne l'aurais fait, des plus intrigués je décidais alors d'en ouvrir une. « Holly j'aurais tant aimer être plus présent dans ta vie blablabla....Papa. » Qu'est-ce que c'était que ce bordel. J'ouvris alors une autre lettre, puis une autre, elles étaient toutes adresser à cette fameuse Holly et toutes signer de "Papa". J'aurais certainement préférer rester dans l'incertitude. J'étais agenouiller les lettres ouvertes dans les mains pleine d'incompréhension et surtout de peur. J'avais peur, peur de voir comment aller évoluer la situation si ma mère l'apprenait. Car il ne fallait pas chercher midi à quatorze heure mon père avait commis le pire des actes, il avait consumer son amour avec une autre. Alors que je m'apprêtais à ranger toutes les lettres j'entendis alors sa voix. « Pinny bon sang qu'est-ce que tu es entrain de faire? » . J'étais sur le point de faire l'idiote de faire semblant de ne rien savoir mais en le regardant dans les yeux je n'arrivais plus à éprouver de la fierté pour lui, j'avais honte d'être sa fille, honte qu'il soit mon père. Je jetais alors toutes les lettres au sol et me levais. « C'est plutôt à moi de poser les questions je pense. C'est quoi tout ça? » M'écriais-je alors. Il me regarda avec mépris et indifférence. Et préféra détourner la bonne réponse, celle que j'attendais. « Ce ne sont pas tes affaires et qui t'a permis d'entrée ici! » C'était la meilleure. La meilleure de l'année. Justement le problème c'est que c'était définitivement mes affaires. Je soupirais alors et répliquais. « Maman mais là n'est pas la question! » A ces mots on pouvait voir la colère monter en mon père. Jamais je ne m'étais adresser de la sorte à lui auparavant. Comme quoi il fallait bien un début à tout. « Sur un autre ton jeune fille je te rappel que je suis ton père. » J'étouffais un léger rire sarcastique si il croyait quand jouant la carte du père autoritaire cela allait changer quelques chose il ne pouvait pas mieux se tromper. J'empoignais alors la boîte remplie de lettres. « Oui et ça c'était certainement pour rappeler à HOLLY QUE TU ÉTAIS ÉGALEMENT SON PÈRE. Comment est-ce que tu as pu nous faire ça à maman et moi! » La colère montais en moi et je dois dire que ce que je n'avais pas prévue c'est que ma mère alarmée par tout le bruit qui émanait de la pièce soit venue voir si tout allait bien. Elle n'avait de toute évidence rien manquer de cette conversation. « Pinny monte dans ta chambre s'il-te-plaît! » s'écria ma mère. Je ne pouvais que m'exécuter. C'est ainsi que tout mon monde commença à s'écrouler peu à peu. Tout ce que je redoutais le plus depuis toujours était entrain de se produire.
You don't control anything just so you know.
SEPTEMBER 7TH & 11TH 2001 ★ Des cries, des pleurs, des objets virevoltant à travers les pièces c'est tout ce dont j'avais le droit ces derniers temps. Depuis que j'ai malencontreusement découvert le lourd secret que mon père cherchait tant bien que mal à préserver, disons que chez moi c'est la déchéance. La fin de tout. Mes parents n'ont de cesses de se disputer, et quant à moi le seul moyen d'éviter d'être témoin de ces sanglantes disputes c'est de m'enfermer dans ma chambre toute la journée, les écouteurs de mon ipod bien enfoncé dans les oreilles. Je pense que mes parents vont se séparés, cela me semble si évident et si irréel à la fois que je n'arrive à en parler à personne même pas à ma meilleure amie Cintia qui au fond a toujours été au courant de toutes mes histoires familiales. Au fond qu'ils se séparent serait la solution la plus adéquate. Je ne supporte plus mon père et je supporte encore moins de voir ma mère dans cet état, elle ne le mérite pas. Quant à lui il mérite de se retrouver tout seul. Sans personne et de retourner voir. Je ne dirais pas le mot que je trouve très appropriés pour la qualifier mais qu'il retourne la voir lui et sa holly chérie et qu'il nous laisse une bonne fois pour toute tranquille ma mère et moi. En mentant pendant toutes ces années il a briser quelque chose au sein de notre famille et je pense que c'est une chose que je ne lui pardonnerais jamais. Ce jour-là fus le premier soir depuis l'incident où je dormis sans réels problèmes. En me réveillant mon téléphone affichait 15h30. Je poussais un long soupir de désespoir et me levais enfin. En arrivant dans mon hall d'entrée une chose me percuta. Quelques chose avait changer, et ce n'était pas mon esprit qui me jouais des tours non loin de là. Il y avait bel et bien quelque chose d'inhabituel je pouvais le sentir. Prise de panique je m'élançais jusqu'à la chambre de mes parents où ni ma mère , ni mon père ne se trouvait. Rosalie, la gouvernante me retins et s'adressa à moi en espagnol. J'avais toujours été plutôt douée pour comprendre ce qu'elle me disait mais pour le coup mon cerveau était complètement déconnectée de la planète. « C'est impossible!» m'écriais-je alors tout en repoussant Rosa qui tentait de me retenir en braillant des idioties dont je ne percevais même pas le sens. En arrivant dans la chambre j'accourus jusqu'aux placards qui étaient censée contenir les diverses affaires de ma mère. Rien. Il n'y avait rien à elle nulle part. Son placard, la salle de bain et en regardant de plus prêt toute la maison était vide de sa présence. « Elle m'a laissée une lettre quelques chose, elle va revenir me chercher je t'en supplie ne me dis pas qu'elle m'a laissée comme ça!» Rosa ne me répondit même pas. Le silence était d'ailleurs certainement préférable. C'est alors que je compris. Je compris que ma mère était partie et qu'elle n'avait même pas penser une seconde à moi. Penser que dans toute cette histoire j'étais de son côté et que je préférais mettre fin à mes jours plutôt que de vivre avec mon père. J'ouvris la porte d'entrée et m'assis sur la balancelle qui se trouvait sur le porche. Les larmes coulaient une à une. Je ne pouvais pas y croire se n'était absolument pas possible. J'attendais. Au fond j'attendais qu'elle revienne qu'elle me dise que tout ça n'était qu'une mauvaise blague. Chose qui n'arriva jamais. A la place de cela mon père débarqua au volant de sa bagnole de bourge nullement affecter par toute cette situation. Voyant la tête que je tirais il s'avança vers moi et déclara. « Tout va bien se passer je te le promet!» A ces mots je me levais donc de cette foutue balancelle et m'écriais avant de regagner ma chambre. « Ne fais pas des promesses que tu ne peux pas tenir!» Qu'il aille au diable. En plus d'avoir ruinée mon bonheur, ma vie de famille si parfaite, il m'avais enlever ma mère. Si il s'imaginait ne serait-ce qu'une seule seconde que tout allait bien se passer il se trompait fortement. Depuis que ma mère était partie je ne bougeais plus de ma chambre ni pour manger ni pour accueillir les diverses personnes qui venaient me rendre visite, je n'étais disponible pour personne. J'étais dans une phase de dépression intense. Je passais mes journées à fixer mon téléphone attendais que ma mère m'apelle pour s'excuser et me dire quelque chose du style « Je préférais bien m'installer avant de venir te chercher.» L'espoir fait vivre comme on dit si bien. 4 jours plus tard. Le 11 septembre. Je me trouvais toujours dans ma chambre quand mon père y entra. C'était la première fois depuis ces 4 jours qu'il cherchait à entrer en contact avec moi. Je le regardais à peine. Qu'est-ce qu'il pouvait bien me vouloir encore. « Je peux te parler?!» Je relevais les yeux vers lui et rattachait alors mes cheveux en une queue de cheval impecablement faite. Je ne lui répondis même pas de toute manière mon avis ne comptait pas et n'avait jamais compter pour lui alors que je lui réponde oui ou non il me parlerait quand même. Il s'assit au pied de mon lit j'eus la soudaine envie de m'énerver mais je gardais mon sang froid car au fond m'énerver c'était tout ce qu'il cherchait. « J'ai rencontré Holly aujourd'hui!» Je le regardais avec un regard des plus noirs. Il ne pouvait pas sérieusement venir me dire ça comme si j'en avais quelques chose à faire de cette Holly. Comme si j'en avais quelques chose à faire de ce qu'il avait fait hier , avant-hier et les jours précédent il n'existait plus pour moi et plus vite je pourrais quitter cet endroit et vivre ma vie sans jamais réentendre parler de la sienne mieux ce serait. Je m'apprêtais à lui dire que je n'en avais fichtrement rien à faire mais il continua. Et je pense que j'aurais préféré qu'il s'abstienne et de loin. « J'aimerais que tu la rencontre.» Ce fut alors le coup de grâce. La fin de tout. En plus il pensait que je souhaitais la rencontrer elle était peut-être ma demi-soeur mais c'était bien loin de moi toute cette histoire. Je relevais alors la couverture dans laquelle je m'étais enveloppée. Attrapait ma veste de jogging qui allait avec mon bas de jogging que j'arborais présentement attrapais mon sac et mes clés sous l'oeil interrogateur de mon père. « Qu'est-ce que tu fais?» Je ne daignais même pas lui répondre et descendit les escaliers en trombe. Il se leva alors et me suivis de très prêt. J'avais besoin de sortir avant de devenir folle et d'être contrainte de le poignardée pendant son sommeil ou pendant qu'il me parlait au choix. « Milky viens mon chien!» Je n'allais certainement pas laisser mon bébé avec ce monstre. Alors que j'appellais mon chien qui arrivait à toute vitesse en remuant la queue et que j'empoignais sa laisse mon père m'attrapa le bras à la volée. Je me retournais alors vers lui. « Ne t'avise pas!» Il était franchement de pire en pire. C'était dans ce genre de moment que je me demandais comment ne serait-ce qu'un seul jour j'avais pu estimer cet homme. Je le regardais et étouffais un léger rire des plus sarcastiques comme je savais si bien le faire. J'enlevais ou du moins je tentais d'enlever l'emprise qu'il avait sur mon bras et déclarais alors. « Tu as été incapable de retenir maman tu pense vraiment que tu feras mieux avec moi!» Toucher. Il semblait des plus choquée et lâcha alors mon bras. Je sortie donc et partie en courant suivie de mon adorable petit chien. Je ne savais pas bien jusqu'où je comptais courir mais une chose était certaine il ne fallait pas que je m'arrête avant d'être approximativement très loin de chez moi. Aller savoir pourquoi je me trouvais vers Brooklynn. Un bus passa devant moi et je la reconnus. Holly à l'intérieur. Je ne l'avais vue qu'en photo dans cette foutue boîte remplie de lettre mais son visage était imprégné dans ma mémoire. Elle semblait étrangement aussi choquée et affectée par la situation que je ne pouvais l'être. Alors que je restais choquée par cette image de Holly passer devant moi mon chien aboyait. Chose qu'il n'avait pas l'habitude de faire. « Milky shut up NOW!» m'écriais-je alors. A la seconde même où j'eus terminer de faire en sorte que ce chien se taise, le chaos commença. Un avion se dirigea droit sur les tour jumelles. Je lâchais alors sans même m'en rendre compte la laisse de Milky qui partie en courant. Je le regardais alors s'éloigner et regardais avec effrois le spectacle qui s'ouvrait à moi. C'était incroyable. Impensable. Inimaginable. On aurait crut être dans un film. Sans même réfléchir je courais après mon chien. Je ne pouvais pas l'abandonner. Sachant que c'était un cadeau de ma mère je ne pouvais pas le laisser. Plus cela allait et plus il s'approchait de l'endroit du massacre. Arriver non loin des tours on m'empêcha de passer. « Mademoiselle il ne faut pas aller par ici c'est trop dangereux!» s'écria un jeune homme en m'attrapant par la main. La population New - yorkaise courrait dans tout les sens mais moi au fond de mourir je m'en fichais bien tout ce que je voulais c'était retrouver mon chien. « Je...Non..MILKY IL FAUT QUE J'AILLE CHERCHER MILKY!» m'écriais-je en retour. Je compris alors que personne n'en avait rien à faire de ce que je pensais. Je tentais alors de rentrer chez moi. Mon téléphone cellullaire n'arrêtait pas de sonner. Mon père certainement mais à quoi bon. Je venais de perdre milky, j'avais plus ou moins perdue ma mère il y a 4 jours et le goût à la vie également. Je soupirais et marchais tranquillement parmi les personnes qui se bousculaient et courraient. J'étais presque statique inanimée. Mon esprit était partie mais mon corps était bel et bien toujours là. Ce jour-là je perdis mon chien pendant que tant d'autres personnes perdirent leurs proches. Un chien face à une humain ce n'est certainement pas la même chose mais pour moi ça avait été le coup de grâce. La fin de tout. J'aurais préférer y passer à la place d'autres gens. Y passer et être enfin libérer de cette douleur qui ne s'échappera certainement jamais. A quoi bon vivre si c'est pour vivre ainsi.
Life suck anyway.
SEPTEMBER 2003 ★ Dans l'absolue je dirais que depuis cet incident ma vie à relativement changer. Elle est devenue plus complexe, plus douloureuse. Je n'attends qu'une seule et unique chose qu'elle prenne des tournures plus joviales et que je retrouve enfin une raison de vivre car pour le moment en toute honnêteté je ne fais que survivre. Je sens que je suis entrain de rater mes études à Columbia ma concentration est des plus limitées. Mon père a décider de vivre avec sa dites maîtresse. Holly et moi vivons donc plus ou moins sous le même toit. Comme si cela n'était pas suffisant après tout plus ça allait et plus il fallait que mon père en rajoute. Je rentre régulièrement chez moi non pas par plaisir mais pour soutenir Holly qui a perdue son père le 11 septembre 2001. Je ne souhaite pas la juger ni même la détester car au fond c'est plus la faute de mon père et de sa mère que de la sienne, je me contente de chercher à la comprendre. Quant au reste de la famille je fais bonne figure devant eux du moins je tente de faire bonne figure, mon "père" me crois folle et me fais voir depuis quelques mois un psy. Il faut dire qu'à une période j'ai cesser de me nourrir et je suis entrain dans une grande phase dépressive. Depuis ils en ont conclus avec la mère d'Holly que je devais voir un psychologue. Comme si parler de mes problèmes allaient changer quelque chose. Je me souviendrais toujours de ma première séance avec lui il avait été très gentil et j'avais été des plus odieuses tout simplement parce que je ne voulais pas parler de ça avec lui. « Bonjour Pineapple comment vas-tu aujourd'hui.» Je le fusillais du regard. Ce type était payer à ne rien faire, il nous écoutait d'une oreille et faisait un faux diagnostic en même temps. C'était tout ce dont il était capable. Je répondis alors. « Mal c'est ce que vous voulez que je vous répondes n'est-ce pas? Vous voulez savoir pourquoi je vais mal? Parce que mon père s'est taper la meilleure amie de ma mère, il l'a mise en cloque, l'a payer pour qu'elle élève l'enfant, ma mère est aujourd'hui partie et m'a laisser avec ce monstre qui en plus d'avoir détruit ma vie à détruit celle de cette Holly qui n'avais rien demander à personne. Et puis mon chien est mort. J'aurais préférer être à sa place. Voilà merci docteur bonne journée.» A ces mots j'avais pris mes affaires et j'étais partie. Depuis je ne fais qu'acte de présence à ces foutues séances de psychologues. Je ne suis pas suicidaire loin de là comme mon père pourrait le penser car si j'avais voulut mettre fin à mes jours s'aurait été il y a bien longtemps je suis juste affecter par cette histoire et je ne suis pas prête à m'en remettre. Qui sait ça viendras peut-être un jour ou peut-être pas. En attendant je compte bien me lancer dans l'écriture d'un livre autobiographique intitulé « Je m'appelle Pineapple Krissy Scharw-Feaz , ma vie est fichue» ou bien « Je m'appelle Pineapple Krissy Scharw-Feaz et je suis inutlie. » Car au fond nous sommes tous inutiles. On nait, on vit, on fait souffrir les gens qu'on aime, on souffre en retour et puis un jour on meurt. Point final.
Dernière édition par Pineapple K. Scharw-Feaz le Mer 8 Sep - 22:17, édité 34 fois
Cintia-Dale Backström
Messages : 24 Date d'inscription : 06/09/2010 Crédits : Faithfully
Sujet: Re: Pinny ♦ you have to understand that we all are useless! (ENDED) Lun 6 Sep - 19:20
Mmm. Lucy. Bienvenue !
Pineapple K. Scharw-Feaz PINNY ★ This must be what going mad feels like.
Messages : 104 Date d'inscription : 06/09/2010 Crédits : //
Sujet: Re: Pinny ♦ you have to understand that we all are useless! (ENDED) Lun 6 Sep - 19:31
oh mon ourson chinois bwahh - attends attends je sens que je vais bientôt bouleverser les réservations on me parle de jumeller katie ça me plait bien toute cette histoire -
Cintia-Dale Backström
Messages : 24 Date d'inscription : 06/09/2010 Crédits : Faithfully
Sujet: Re: Pinny ♦ you have to understand that we all are useless! (ENDED) Lun 6 Sep - 19:33
Merdouille, elle est trop belle sur ton avatar. (et tu m'as démasquée - vilaine )
Pineapple K. Scharw-Feaz PINNY ★ This must be what going mad feels like.
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Sujet: Re: Pinny ♦ you have to understand that we all are useless! (ENDED) Mar 7 Sep - 20:07
Bon c'est super nullissime mais j'avais envie de terminer aujourd'hui alors .
Trevor Desmings-Ford
Messages : 48 Date d'inscription : 06/09/2010 Crédits : chevalisse
♣ ON THE ROAD ! ♠ Emploi: Agent du FBI ♠ Adresse: ♠ Relations:
Sujet: Re: Pinny ♦ you have to understand that we all are useless! (ENDED) Mar 7 Sep - 20:54
Super nullissime ?! T'as pas vu ma fiche alors. Bienvenue en tout cas. Et puis, FOOLISH sans Katie c'est hyper.... bizarre, rarissime... Mais ça change. Et puis Lucy n'est pas mal non plus, même si elle n'arrive pas à la cheville de cette blondasse bonasse qu'est Katie quoi.
Pineapple K. Scharw-Feaz PINNY ★ This must be what going mad feels like.
Messages : 104 Date d'inscription : 06/09/2010 Crédits : //
Sujet: Re: Pinny ♦ you have to understand that we all are useless! (ENDED) Mar 7 Sep - 21:14
Oui ma fiche est nullissime!!!! Merci btw Je vois que TOUT LE MONDE SAIS QUE C'EST ETRANGE QUE JE SOIS SANS KATIE Bon bon les enfants il faut arrêter de me faire penser que je n'ai pas pris Katie c'est déjà assez bizarre dans ma foutue tête ahah . Je dors très mal en ce moment voilà (a). De toute manière Katie c'est ma femme voilà .
Cathy Blackfield DON'T BE AFFRAID TO CARE ♣For every step in any walk i'll be your guide.
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. mmm Question : JOANIE? 
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Et puis Lucy n'est pas mal non plus, même si elle n'arrive pas à la cheville de cette blondasse bonasse qu'est Katie quoi.