PINNY&OLIE❥forever. (r.)

Je m'étais réveiller tard ce matin là, je sentais cette nonchalance qui s'emparait de mon être. J'avais ce ras le bol qui me disait d'arrêter, de rester là dans mon lit à rien faire, à faire pause sur le film de ma vie. Là on venait de passer le moment pénible de la love story éclaire, le moment mièvre et cucu. Vous savez ce moment où les deux héros de l'histoire se rende compte qu'il y a bien plus qu'une amitié entre eux deux. Ouais vous voyez ce que je veux dire. C'est the moment, qui se termine par une partie de jambe en l'air torride. Et bien mon film à moi se veut bien plus tragique, non il n'y a pas eu de partie de jambe en l'aire torride, bon oui y a eu un baiser, puis moi qui le repousse bien loin. C'est une sorte de système d'auto-défense, je ne veux plus risquer de perde une personne qui m'est cher, alors je fais en sorte de ne plus m'attacher aux gens, de laisser une distance entre nous. Je lève malgré moi, je me console en me disant qu'aujourd'hui je vais voire Pinny, un des derniers être au monde à qui je laisse la porte de mon cœur grande ouverte. Je passe directement sous la douche, pour au moins une bonne heure. Oui j'ai pas tendance à faire des économies sur ça, une douche d'une heure c'est le minimum un jour où je n'ai ni cours, ni travail chez Barney's. Je sorti de la douche vêtu d'un peignoirs en soie gris. Je me dirigea à pas de souris vers la cuisine, une odeur de café bien chaud et de croissant tout frais flottait dans l'aire. Un des avantage d'avoir une employé de maison. Au départ je vous avoue que j'étais vraiment contre, je trouve ça débile d'employer des gens pour faire des choses qu'on est tout à fait capable de faire, même si j'ai été élevé comme ça. Mais ma mère à insister pour que je prenne quelqu'un chez moi vu que je me refusais à vivre avec elle. D'après elle s'est pas bon pour moi de vivre seule, alors il y a Marguerite une française venu découvrir son rêve américain devenue gouvernante. Je l'apprécie vraiment cette Marguerite pas que parce qu'elle fait bine son travail, aussi parce que si jamais j'ai envie de discuter avec quelqu'un elle est là et écoute sans se plaindre mes jérémiades de jeune fille de 20 ans. De plus elle a un goût sur pour la mode et sait me conseiller pour mes croquis. « Merci Marguerite, toujours aussi bon tes cafés, j'en rêve la nuit tellement je les aimes. » Dis-je en concluant par un rire simple et naturel. Marguerite, me souris en signe de gratitude. Je me dépêcha de manger mon croisant je devait encore finir quelques croquis pour demain, sachant que je passe l'après midi avec Pinny je n'ai pas d'autre choix que de faire ça ce matin. J'attrapai le téléphone, dans un lent geste de ras le bol, je devais avoir une séance avec le Dr Taylor cette après midi mais j'allais annuler. « Oui allo, c'est Mlle Harper-Duck, j'ai rendez-vous avec le Dr Taylor à 15h, j'appelle pour annulé j'ai un empêchement professionnel. Oui c'est ça merci, au revoir. » Même si je savais que les séances avec le Dr Taylor m'étaient bénéfique je n'y allait pas vraiment de mon plein gré, dès que je pouvais annulé et bien je le faisais. En plus pour une fois cette nuit j'ai dormis à point fermé sans faire aucun cauchemars sans avoir aucune pensé négative au levé alors je crois que je peux me permettre de loupé la séance d'aujourd'hui. Je bus mon café en troisième vitesse, et toujours en peignoirs m'installa à ma table à croquis qui se trouve dans le salon. Je reste presque deux heures à dessiner des croquis en tout genre, des robes, des ensembles plus travailler, des tenues de villes, tenues de soirées tout ça dans une vaine moderne et tendance. Je quitta mon lieu de travail pour me rendre dans ma chambre bien décidé à m'habiller enfin, mais comme toujours je ne trouvais jamais rien de bine dans mon dressing et pourtant dieu sait qu'il est grand et bien rempli de nombreux créateurs. Je finis par enfiler une robe bustier Vera Wang dans les tons taupes, un boléro noire Alexander McQueen, et des Miu Miu de la même couleur que ma robe. Je passa dans la salle de bain pour me maquiller légèrement et me coiffer d'une queue de cheval simple don j'avais le secret. Je regarda l'heure, j'avais encore deux heure avant de rejoindre Pinny. Je décida de passer ce temps à aller montrer mes croquis à mon prof de stylisme. Je les mis dans une pochette attrapa mon sac à main, et héla un taxi. Je passa deux heure en compagnie de mon professeur à parler de mes croquis et de ma tenue qui selon lui était vraiment parfaite. Je passa un moment tellement agréable que j'en avait oublier presque Pinny, je dis bien presque. J'avais tendance à faire tout à cent à l'heure ces dernier temps pour éviter de penser, à eux, à lui, à ça. Je me dépêcha d'attraper un taxi direction la cinquième avenue. Et comme prévu je trouva la petite brune devant notre boulangerie française favorite, le regard perdu dans la marée humaine qui traversais les passages à niveau. J'arrivai derrière elle et déposa mes mains sur ses yeux. Et dans un élan enfantin je lui dis. « Qui-est-ce ? » Je me mis à rire, et commença à lui faire tonnes d'excuses pour mon retard. Pinny et Olie c'est pour la vie.

» (M) It seems like forever ago
» Pinny ♦ you have to understand that we all are useless! (ENDED)
» PINNY ☆ Silicone, saline, poison, inject me, baby I'm a free bitch.